«Il faudra bientôt construire des cloîtres rigoureusement isolés, où ni les ondes, ni les feuilles n’entreront; dans lesquels l’ignorance de toute politique sera préservée et cultivée. On y méprisera la vitesse, le nombre, les effets de masse, de surprise, de contraste, de répétition, de nouveauté et de crédulité. C’est là qu’à certains jours on ira, à travers les grilles, considérer quelques spécimens d’hommes libres.»
1945, als Paul Valéry diese Zeilen schrieb, gab es noch keine organisierten Rückzugsmöglichkeiten für überarbeitete Manager in Klöstern. Es gab auch keine Ruheabteile in den Zügen. Auf eine seltsam berührende Art hat Valéry vorausgesehen, was heute ein Teil der Realität ist: dass das moderne Leben als Belastung wahrgenommen wird und man Auswege sucht. Nicht umsonst zitiert der französische Autor Rémy Oudghiri die Textstelle in seinem neuen Buch «Déconnectez-vous», einem leidenschaftlichen Plädoyer fürs zeitweise Ausschalten der Handys und Internetverbindungen.
Rémy Oudghiri: «Déconnectez-vous», Arléa 2013